La Confrérie d'Odai
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Les temps sont dur, alors que les trois armées se battent pour le trône impérial, une petite confrérie voit le jour: La Confrérie d'Odai.
 
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 Maralie Maren, la renarde de Morrowind

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ghost-kix




Messages : 9
Date d'inscription : 24/05/2015

Maralie Maren, la renarde de Morrowind Empty
MessageSujet: Maralie Maren, la renarde de Morrowind   Maralie Maren, la renarde de Morrowind Icon_minitimeDim 24 Mai - 20:12




Maralie Maren, la renarde de Morrowind 6W90OeX


Identité réelle : Eh oui, quand il faut respecter les règles que l'on instaure... même pour moi, je passe à la moulinette de la présentation personnelle. C'est parti! Je me nomme Kevin, étudiant en école de commerce la journée, Geek en pu-pu-pu-puissance le soir! Cela fait presque deux ans que je me suis converti au AirPay lors ce que j'ai rejoins l'Ordre du Chêne Écarlate, notre grosse communauté de rôliste par excellence. Actuellement membre du conseil avec mes deux acolytes, si vous avez un soucis, je suis votre roux de secours (Eh oui j'aime l'auto dérision...). A part ça, je suis un fana de Airsoft quand il m'arrive d'en faire, un peu de programmation et de conception à droite et à gauche, j'aime toucher à tout. Voilà donc ma petite présentation, en vous souhaitant une bonne lecture pour la suite Smile

Nom de compte : @ghost-kix

Nom : Maralie Maren (appelée Maren en général)

Race : Elfe noire, Dunmer. J'ai souhaité créer une elfe noire car c'est la race qui selon moi est la plus riche niveau culturelle. Cette race selon moi se différencie des autres de par leur caractère et leur lourd passé, et c'est vraiment ce qui m'a plu chez eux. On ne retrouve pas le caractère de ces mégalos de Haut Elfes ni des autres races de Mer. En outre, c'est ce côté de race rejetée qui m'a bien plu.

Sexe : Femme

Âge : 32 ans – Date et lieu de naissance inconnue

Faction : Pacte de Coeurébène

Classe : Lame noire. J'avais eu une illumination dans le background du personnage que je voulais créer. Je voulais quelqu'un de stigmatisé... quelqu'un qui avait un passé douloureux, qui a connu des jours sombres pendant une partie de sa vie. Une personne se retrouvant obligée de voler les honnêtes citoyens pour survivre dans les terres de Morrowind. C'est pour cette raison que je me suis orienté vers un lame noire, la classe se rapprochant le plus de l'archétype d'un voleur... mais ne vous méprenez pas, l'idée n'était pas que d'en faire une voleuse...

Métier / archétype : Maralie est officiellement serveuse dans le club des frères piécettes à Fort-Tempête. Mais officieusement, c’est une ancienne roublarde et voleuse de grands chemins, ayant fait mainte fois de la prison par le passé. Elle a développé des techniques d’assassinat et est plutôt efficace quand il s’agit d’éliminer quelqu’un, mais ça, il ne faut pas le répéter. Elle s’est désormais reconvertie dans le mercenariat en solitaire pour le moment accomplissant de petits contrats à droite et à gauche accumulant une somme pécuniaire pour la mise en place d’un projet avec une de ses connaissances. C’est aussi une excellente commerçante ayant de bonnes notions en gestion. Dès fois, les gens se demandent comment elle arrive à dénicher de bonnes affaires ou de bons petits contrats juteux.

Description physique : Une Dunmer de taille moyenne, au hanches un peu larges dû à un entraînement physique bien particulier, elle a un corps légèrement svelte lui permettant d’être plutôt agile et de se servir de l’environnement à son avantage en cas de combat ou de fuite. Elle porte diverses scarifications sur son corps : pour certaines des restes de son séjour au sein des bandits où elle a été battue et torturée par pur plaisir par ces derniers. Sur son torse, se trouve trois grandes traces de griffes provenant d’un combat contre un Braillard des falaises non loin du mont écarlate. Comme tous les Dunmers, Maralie porte un regard de braise surmonté de quelques tâches de rousseurs au niveau des pommettes. Elle arbore une chevelure de feu allant de pair avec ses yeux, et disant beaucoup sur le tempérament de la personne. Son visage est plutôt rond, mais légèrement creusé par son passé mouvementé et ardu laissant paraître encore une fois quelques souvenirs de son passage chez les bandits. Son apparence a des allures d’une séductrices, mais ne vous y fiez pas son caractère vous remettra les idées en place.

Psychologie : Son lourd passé a laissé pléthore de marques sur son caractère. Généralement, elle arbore un ton assez sarcastique et un humour légèrement noir. Plutôt renfermée de base, elle ne se laissera pas faire même si elle tend à marquer des silences lors de débats ou conversations. Elle n’a que d’affinité pour les personnes qu’elle connait ; pour les autres, peu importe la race elle aura tendance à être plus méfiante et avant-gardiste avec eux préférant éviter de s’ouvrir. Pour cette raison, elle préfère éviter les combats plutôt que d’affronter ses adversaires. Elle n’a que peu d’amis : l’elfe noir qu’elle a rencontré en prison, une nordique qu’elle a recueilli et peut-être une autre elfe noire qu’elle rencontre (trop) régulièrement lors de ses voyages. C’est aussi une personne très cultivée et plutôt pieuse n’hésitant pas à partager le savoir qu’elle a reçu aux ignorants, ayant reçu les enseignements du tribunal par les moines du monastère d'Holamayan lors de son enfance. Enfin, c’est une très bonne commerçante capable de flairer les bonnes affaires et dénicher les petits contrats juteux… sans poser trop de questions bien entendu.

Autre : Maralie voyage plutôt léger. Une simple petite besace avec tout le stricte nécessaire préférant éviter de s’encombrer. Elle arbore une simple armure de cuir pour être plus mobile et agile, son visage étant masqué en général. Pour se défendre, elle se sert d’un arc court, très efficace à courte et à moyenne distance. Le temps de bandage de la corde entre chaque flèche étant court, elle peut très facilement en tirer parti en décochant ses flèches rapidement comparé à un arc long. Mais le réel atout de Maralie réside en ses deux dagues, fines, pointues, en acier trempé et très affutées. Grâce à elles, elle est capable d’entailler les parties vulnérables de n’importe quel ennemi grâce à la partie tranchante qu’elle aura bien évidemment empoisonné avant le combat ; la partie pointue ne servant que dans des cas extrêmement précis, son but étant plus de rendre une cible vulnérable et la laisser mourir seule. Elle est aussi accompagnée d’un petit familier, un renard de couleur feu nommé Olms en l’honneur du Saint ; s’appareillant avec les cheveux de la femme.
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Histoire :



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Préambule : Je vous conseille de mettre en fond cette musique là pour la lecture de l'histoire de mon personnage. Lien Enjoy Smile

Je ne sais que très peu de choses de mes origines. De ce qu’on m’a raconté, j’ai été trouvée par des moines, abandonnée sur le bas-côté d’un chemin sur l’île de Vvardenfell il y a de ça une trentaine d’années. Aucun moyen de m’identifier. Pas de nom, ni d’adresse, ni de maison… seulement les langes blanches dans lesquelles j’étais enveloppée. Ils m’ont donc recueilli et portée à leur monastère, le monastère d'Holamayan à l’Est de Vvardenfell pour m’y élever telle leur fille. N’ayant aucun patronyme, ils m’ont octroyé le prénom de Maralie et le nom de Maren en mémoire à une ancienne sœur décédée, elle-même ayant été orpheline et recueille par le monastère dans le passé. A un certain âge atteint, ma formation commença sous le regard bienveillant de mes frères et protecteurs, je suivi les enseignements d’Almalexia, Sotha Sil et Vivek, les trois dieux vivants Dunmers. Les moines m’ont aussi appris à respecter les autres, vivre en communauté et ne jamais abandonner ce que l’on entreprend au travers aux récits de Saint Veloth narrant l’exil de nos ancêtres les Chimers. Je voulais en apprendre toujours plus, enhardie par tout ce savoir, j’entrepris la lecture de l’histoire de chacun de nos Saints : Olms, Rilme, Nérévar… tous ces grands noms ayant contribué à la prospérité de notre grande nation j’aurai tant voulu les connaitre. Je ne savais pas ce que les moines me réservaient spécialement pour mon avenir, mais il s’annonçait plutôt radieux et prospère. J’étais en bon chemin pour devenir prêtresse à leur côté, écoutant et transmettant la parole de nos dieux et les enseignements nos Saints. J’avais 16 ans, quand tout bascula.

Tout ceci s’est retrouvé bouleversé le jour où nous sommes partis en pèlerinage avec quelques-uns de mes frères. Sur le chemin entre deux villes, des bandits nous ont tendu une embuscade. Des cendrais sans doute. Pris par surprise, les moines n’ont guère eu le temps de riposter. Chacun de mes frères est tombé sous le joug de ces monstres, les transperçant de leur lame, ou leur tranchant la gorge tel des barbares assoiffés de sang. C’était une boucherie, pas la moindre once de chance face à des moines peu entraînés pour le combat… aucun survivant ne sortit de ce bain de sang. Quant à moi qui avait tenté de me cacher comme je pouvais, apeurée et tétanisée par l’évènement, ils m’ont capturé et séquestré à la fin de l’attaque. Parmi eux, j’étais battue, torturée et humiliée en permanence… ils semblaient y prendre plaisir. J’ai été trainée de lieux en lieux ligotée et attachée à une corde au cou tel un Guar, voire pire. Ils ont alors commencé à me trouver une utilité… j’étais devenue leur potiche, la bonne à tout faire. Obligée de leur préparer les repas avec les moyens du bord, leur servir leur boisson lors des soirées arrosées entretenir leurs armures et leurs armes sous leur vigilance. Si le travail était mal fait je finissais sur le sol un gout de sang dans la bouche, fouettée pour « m’apprendre le respect » je m’étais à force, fait à la douleur et ne ressentais plus rien au final. Au bout d’un moment, me jugeant encombrante et inutile lors de leurs déplacements, ils ont décidé de me relâcher. Du haut de mes seize ans pour l’époque j’avais tout de suite compris à quoi je devais m’attendre. Ils voulaient me traquer tel un lapin pour me tuer ensuite… J’étais perdue et je ne savais pas quoi faire… où étaient les trois dieux vivants que je vénérais au monastère ? Viendraient-ils m’aider pour me sauver ? Non… je devais me débrouiller par moi-même. En usant de petits stratagèmes, j’ai réussi malgré tout réussi à leur faire perdre ma trace pour rejoindre une ville, à ce que je me souvienne il s’agissait de Tel Branora, au Sud de l’île. Imaginez une gamine venant de l’extérieur, habillée en haillons, couverte de blessure, le visage presque déformé par les coups reçu de ses tortionnaires et d’origine inconnue dans une ville. Les gens me regardaient tel la peste passant devant moi. J’étais seule et affamée les dieux m’avaient-ils abandonné définitivement ?

Pour survire j’ai dû enfreindre les nombreuses règles que je m’étais fixé. Pour moi il m’était impossible de voler quelques chose ne serait-ce qu’un simple fruit. Et pourtant, c’est là que mon histoire commence réellement. Ça a commencé avec de simples pommes ou des morceaux de pain à l’étalage pour me nourrir. Mais comme dit le proverbe, qui vole un œuf de Kwama, vole un Guar… la nourriture ne me suffisait plus. Les vêtements y sont donc passés aussi, ma tenue étant devenue trop usée pour continuer de m’en servir ; puis l’argent… C’est là que les problèmes ont commencé. Bien évidemment je me faisais prendre la main dans le sac… poursuivie et recherchée par les gardes je n’avais d’autres choix que de fuir de ville en ville. Les années passaient, ma technique s’améliorant, je passais de plus en plus inaperçue, commençant à remplir quelques petits contrats à droite et à gauche. J’ai en même temps commencé à m’entraîner de manière plus ardue pour être capable de rivaliser au combat. Je me suis servi de ce que je savais faire et développé mes capacités autour de ça. Je suis devenue plus endurante, plus agile, plus adroite, plus précise à mesure du temps. Mais cela ne m’empêchait pas de finir en prison par contre… pour de courtes durées étant donné de la faible gravité des faits reprochés, mais disons que j’ai arrêté de compter le nombre de fois où j’ai fini au fond du trou.

C’est lors d’un de mes séjours gratuit en prison, j’ai fait une rencontre. Tout nous séparait : j’étais une voleuse de grands chemins et lui un gardien de prison. Il s’appelait Dranos, un Elfe noir au tempérament plutôt sombre. Très cultivé et intéressé par le passé et l’avenir, nous avons passé de longs moments à discuter ensemble. Nous avions les mêmes convictions et les mêmes idées. Je dirai que ce séjour en prison se résumait presque à des vacances. Nous discutions de tout… des dieux, d’histoire, des autres races… aucun sujet ne semblait tabou. Une vraie amitié et complicité c’était créé entre nous deux et c’est ce qui m’a permis de tenir lors de cette peine. Quand nous parlions de la création d’une petite compagnie qui remplirait des contrats offerts par des gens, l’engouement partagé, rien qu’à l’idée de créer quelque chose, mais de transmettre notre savoir et former une famille prête à aider les uns et les autres. A ma sortie, nous nous sommes donné rendez-vous sur un plateau. De là, nous avons signé un pacte magique : le moment voulu nous nous retrouverons pour créer une organisation qui regroupera des personnes partageant nos sentiments et valeurs.

Durant les dernières années jusqu’aujourd’hui, j’en profitai pour progressivement me reconvertir dans le contractuel. J’ai alors eu l’opportunité de voyager un peu partout dans Tamriel de manière incognito, la guerre obligeant d’être extrêmement prudent et surtout discret au sein des autres alliances. Lors de mes voyages, j’ai pu faire la rencontre de différentes personnes, s’étant lié d’affection pour moi et mon histoire ; qui ont su me conseiller, me guider et me transmettre leurs savoirs. Grace à elles, j’ai affiné encore plus mes techniques de combat, pouvant me rendre invisible aux yeux des autres temporairement ou rejoindre rapidement une cible pour l’éliminer. Aux alentours de la trentaine, j’ai jugé bon de m’installer quelque part et limiter mes voyages, jugeant ma quête de connaissance achevée. J’ai donc pris un poste de serveuse au club des frères piécettes à Fort-Tempête dans la région de Fangeombre. Un petit coin reculé et tranquille à la bordure du marais noir. Cela ne m’empêchait pas non plus d’aller remplir quelques contrats à titre personnel à droite et à gauche malgré tout. Mais j’étais enfin installée et casée proprement dans la société, ayant surmonté les épreuves que les dieux m’ont imposé.

Mais comme toujours, le passé refait un jour surface. C’est à Longsanglot que je l’ai revu. Mon vieil ami garde de prison Dranos était là, à quelques mètres de moi. Nous l’avons senti tout deux de suite et nous nous sommes reconnu au premier regard. Chacun de nous à ce moment-là a su que l’heure tant attendue était arrivée. Commença la longue tâche de prospection pour enfin initier notre projet dont nous avions convenu et rêvé par le passé : la confrérie d’Odai. Aujourd’hui, mon histoire s’arrête à cette étape car la suite devant être encore écrite. Mais je pense que les dieux me réserveront encore des défis dans les années à venir. Cependant je ne suis plus seule désormais et j’y ferai face avec force et détermination. Nulle personne ne s’en prendra à ma nouvelle famille. Ceci est mon histoire.

Maralie Maren, la renarde de Morrowind UHapNGR

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